mardi 1 mars 2016

Quand c'est M qui m'aide à relativiser...

Alors que je m'exclamais dimanche soir à 22H30 que je n'avais pas encore eu le temps de préparer notre déjeuner pour le lendemain, et que j'exprimais aussi que je n'avais pas trop le courage vu l'heure de me lancer dans la confection d'une bonne potée des familles, mon mari a eu une réplique pleine d'esprit et tout à fait à propos.

Ma chérie m'a t'il dit, on ne peut pas héberger quelqu'un pour la semaine, recevoir au débotté 5 personnes pour le déjeuné, transformer un repas pour 6 en un repas pour 11, pris le temps de m'aider à réfléchir à mon avenir pro ET préparer le déjeuné du lundi midi. Je crois qu'on pourra l'un et l'autre déjeuner à la cantine de notre entreprise sans trop en souffrir...

J'ai convenu que c'était une réflexion censée, rationnelle et assez libératrice!

3 commentaires:

  1. Tu as un mari remplit de bon sens, tu fais bien de l'écouter !

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  2. Bravo à lui; après tout, c'est tout simplement une version du "verre à moitié plein" : regarder ce que nous faisons déjà et y puiser de l'énergie, au lieu de se décourager à regarder ce qui n'est pas (bien) fait
    et du coup : bravo à toi !

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  3. Préparer le dimanche soir le repas du lundi midi, c'est au delà de la perfection ! Ton mari a bien raison, manger à la cantine parfois ça ne tue pas ( et en plus ça a le bon goût de "jememetslespiedsouslatable" )

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